La tour Vauban de Camaret 4-(38)
Mes chers AMIES et AMIS je suis beaucoup embêter car je ne vois plus ma Bannière et mes photos sur mon blog mais je sais que vous vous les voyez ;j'ai envoyez un E.Mail a canalblog et ils mon répondu qu'ils ne comprenaient pas le pourquoi ? ..donc je vous demande si quel qu'un pourrai trouver ma panne et me dépanner je la remercierais du fond de mon coeur ..MERCI
au bout du port de Camaret
La Tour Vauban avait pour mission de surveiller l’entrée du goulet de Brest et la racine de la presqu’île de Roscanvel, par laquelle l’ennemi aurait pu se faufiler en rade de Brest.
Encore inachevée, la Tour Dorée subit son baptême du feu le 18
juin 1694. Vauban y brise l’assaut de 147 vaisseaux anglo-hollandais qui
tentaient de débarquer.
Admirablement construite, la tour constitue le
prototype et le plus bel exemple de fort à la mer de Vauban à batterie basse et
tour de gorge.
Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban (1er mai 1633 - 1707) est un homme à multiples visages : ingénieur, architecte militaire, urbaniste, ingénieur hydraulicien et essayiste français, qui préfigure, par nombre de ses écrits, les philosophes du siècle des Lumières. Expert en poliorcétique, il donna au royaume de France « une ceinture de fer » et fut nommé maréchal de France par Louis XIV. La fin de sa vie fut assombrie par l'affaire de la Dîme Royale, qu'il décida de publier, malgré l'interdiction royale : dans cet essai, Vauban proposait un audacieux programme de réforme fiscale pour tenter de résoudre les injustices sociales et les difficultés économiques des « années de misère » de la fin du règne du Roi Soleil.
Vauban a voulu faire de la France un pré carré, selon son expression, protégé par une ceinture de citadelles. Il a conçu ou amélioré une centaine de places fortes. L'ingénieur n'avait pas l'ambition de construire des forteresses inexpugnables, car la stratégie consistait alors à gagner du temps en obligeant l'assaillant à immobiliser des effectifs dix fois supérieurs à ceux de l'assiégé. Il dota la France d'un glacis qui la rendit inviolée durant tout le règne de Louis XIV — à l'exception de la citadelle de Lille qui fut prise une fois — jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, où les forteresses furent démodées par les progrès de l'artillerie